Bactéries et Virus : les limites du médical, les solutions
Il existe des bactéries et des virus ‘amis’ dans notre corps, indispensables à son bon fonctionnement. Mais il en existe également qui peuvent perturber nos systèmes et impacter notre équilibre global.
Les recherches scientifiques ont permis d’en identifier de nombreux, de mieux comprendre leurs mécanismes, et de développer des traitements efficaces pour les neutraliser.
Mais que se passe-t-il lorsque certains restent invisibles, inaccessibles ou indétectables ?
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Les bactéries, virus et autres micro-organismes du corps humain
On estime que le corps humain contient environ :
• 30 000 milliards de cellules humaines
• 38 000 milliards de bactéries chez un adulte moyen, soit plus que nos propres cellules ! 90% vivent dans le microbiote intestinal, le reste sur la peau, dans la bouche, le nez, les poumons, les parties génitales, etc.
Leurs fonctions sont essentielles : un déséquilibre du microbiote (appelé dysbiose) est lié à de nombreuses pathologies (troubles digestifs, anxiété, obésité, diabète, allergies, etc.).
Elles participent notamment à :
- la communication avec le cerveau (axe intestin-cerveau)
- la digestion et l’assimilation des nutriments
- la production de vitamines (K, B12, biotine,…)
- la protection contre les pathogènes
- la régulation de l’immunité
• 380 000 milliards de particules virales, soit dix fois plus que les bactéries ! Ces virus, constituant le virome humain, jouent aussi un rôle dans notre équilibre. Certains infectent les bactéries du microbiote (bactériophages) et contribuent à réguler leur population. D’autres vivent intégrés dans notre ADN (virus endogènes), représentant près de 8 % de notre génome.
Certains influencent l’évolution, la régulation génétique, voire l’immunité elle-même.
• Le reste de nos micro-organismes (< 1 %) est composé de champignons, archées et protozoaires. Le mycobiote (ensemble des champignons non pathogènes et/ou présents à faible dose) contribue à l’équilibre digestif et cutané. Les archées participent à la régulation des gaz intestinaux, tandis que certains protozoaires jouent un rôle encore méconnu dans la cohabitation intestinale.
Nous n”hébergeons’ pas des micro-organismes : nous sommes un écosystème symbiotique interconnecté.
Lorsqu’un déséquilibre s’installe, il peut influencer aussi bien notre régulation microbienne que nos émotions, notre mental ou notre vitalité.
Estimations sur le nombre de bactéries et de virus connus vs inconnus
Ces chiffres restent très approximatifs et varient selon les méthodologies utilisées.
Bactéries / Procaryotes (Bactéries + Archées)
- Estimation connue : entre un et quelques millions d’unités taxonomiques opérationnelles (OTU) identifiées à l’échelle mondiale.
- Estimation totale (inconnue) : certaines projections évoquent jusqu’à des milliards, voire un trillion d’espèces microbiennes sur Terre — dont la majorité n’est pas encore décrite.
- Autre estimation : environ 42% de la diversité bactérienne et archéenne n’a aujourd’hui aucune représentation génomique dans les bases de données publiques.
Virus (chez les mammifères ou zoonotiques)
- Estimation connue : plusieurs milliers, voire dizaines de milliers de virus sont actuellement répertoriés selon les familles étudiées.
- Estimation totale inconnue : environ 320 000 virus restent encore à identifier chez les mammifères.
- Autre estimation : en élargissant à l’ensemble du vivant (oiseaux, invertébrés, etc.), il pourrait exister entre 1,5 et 1,7 million de virus encore inconnus, dont une partie potentiellement zoonotique.
Pourquoi autant d’inconnus ?
- De nombreux micro-organismes ne peuvent pas être cultivés ni identifiés avec les méthodes classiques.
- Les virus sont extrêmement nombreux et diversifiés, infectant un grand nombre d’espèces, et beaucoup n’ont jamais été séquencés.
- Bactéries et virus évoluent et mutent bien plus vite que ce que l’on peut mesurer.
- La notion d’espèce microbienne ou virale reste plus floue que celle des espèces animales ou végétales, rendant les estimations complexes.
- Enfin, les environnements extrêmes (fonds océaniques, sols profonds, sources hydrothermales, etc.) demeurent largement inexplorés.
Les forces et limites du médical
La médecine moderne a permis des avancées majeures : identification des pathogènes, mise au point des antibiotiques, antiviraux, vaccins, protocoles de soins, etc. Elle sauve chaque jour des vies et demeure essentielle.
Mais son champ d’action reste centré sur la suppression de l’agent identifié ou du symptôme visible. Dans certains cas, il arrive que le pathogène responsable ne soit pas encore identifié, ou que ses interactions avec d’autres systèmes du corps ne soient pas pleinement comprises.
Ces situations peuvent s’expliquer par :
- des modes d’action encore méconnus
- des outils d’analyse inadaptés ou limités
- ou la complexité du terrain biologique et énergétique de chaque individu
Cas 1 – Une bactérie invisible à la médecine
Lors d’un diagnostic énergétique lié à un problème de prostate, une bactérie non détectée par les analyses classiques a été identifiée dans le système urinaire et reproducteur, car inaccessible au système immunitaire. La recommandation était d’extraire la bactérie avant l’opération chirurgicale prévue quelques semaines après pour éviter sa libération et provoquer une infection post-opératoire. Quelques jours après l’opération, la personne s’est retrouvée aux urgences avec une infection sévère. Aucune recherche ni analyse n’a permis d’identifier sa nature. La personne a donc souhaité réaliser le soin énergétique ciblé, afin d’extraire la bactérie, de réparer les dommages qu’elles avaient causés sur les systèmes et les tissus, ce qui a permis un rétablissement total.
-> Ces exemples n’ont pas vocation à remplacer un diagnostic médical, mais illustrent la complémentarité entre approches énergétiques et médicales.
Cas 2 – Mononucléose ou erreur de diagnostic ?
Un médecin venait de diagnostiquer une mononucléose, car toutes les analyses excluaient d’autres pathogènes. Le soin énergétique a révélé la présence d’une bactérie logée localement dans la gorge, ce qui concordait avec les symptômes : asthénie, douleurs dans les os et les muscles, douleurs au passage de l’air lors de la respiration, impossibilité de boire ou manger car la douleur était trop aiguë, comme des couteaux dans la gorge. Quelques heures après, les douleurs avaient nettement diminué. Dès le lendemain, la personne pouvait à nouveau manger et boire. Elle s’est rétablie en seulement 3 jours. Sans intervention énergétique, la bactérie aurait continué à se développer et l’état général se serait rapidement aggravé.
-> Ces exemples n’ont pas vocation à remplacer un diagnostic médical, mais illustrent la complémentarité entre approches énergétiques et médicales.
Cas 3 – Les infections chroniques
Certaines infections (otites, pneumonies, covid long, Lyme, etc.) peuvent persister malgré les traitements, lorsque les pathogènes deviennent inactifs puis se réactivent. Pire encore, quand les pathogènes impactent les systèmes corporels, déclenchant des maladies aux conséquences parfois graves. Le soin énergétique permet d’extraire les pathogènes responsables, de rétablir les systèmes et de prévenir de nouveaux déséquilibres. Selon leur ampleur, leur nature et leur ancienneté, il est parfois possible de supprimer complètement ces dysfonctionnements, ou à défaut d’en réduire fortement les effets.
-> Ces exemples n’ont pas vocation à remplacer un diagnostic médical, mais illustrent la complémentarité entre approches énergétiques et médicales.
Les traitements médicaux : des avancées majeures, mais pas toujours suffisantes
Lorsqu’un agent pathogène (bactérie, virus, etc.) est identifié, la médecine dispose d’outils puissants mais ils ne sont pas toujours efficaces sur tous les agents pathogènes. Sans parler des personnes qui, en raison d’allergies, d’intolérances ou de rejets du corps, ne peuvent plus tolérer certains traitements,…
Quoiqu’il en soit, ces traitements ne tiennent pas toujours compte :
- du mode de fonctionnement global du pathogène
- des impacts sur le corps à moyen ou long terme
- des interconnexions entre les différents systèmes et autres pathogènes
- du contexte émotionnel et énergétique de la personne
Certains traitements médicaux (médicaments, opérations chirurgicales,…) peuvent donc être inadaptés, voire aggraver le déséquilibre s’ils servent à traiter les symptômes et non les sources, surtout si l’origine est bactérienne, virale, parasitaire ou autre.
L’énergétique n’est pas une alternative à ces approches, mais un complément qui agit sur d’autres plans, ceux que la médecine ne peut pas encore mesurer.
L’énergétique au service de l’équilibre du vivant
L’énergétique ne remplace pas le médical, elle le complète.
En complément du médical, l’énergétique aide à restaurer la cohérence et l’équilibre du corps, du mental et de l’énergie vitale, en permettant au vivant de se réguler naturellement. Ensemble, l’énergétique et le médical offrent une approche plus globale et plus respectueuse du corps.
Comment faisaient nos ancêtres ?
Bien avant la médecine moderne, nos ancêtres savaient observer, prévenir et accompagner les déséquilibres du corps. Leur approche reposait sur une écoute fine du vivant, une compréhension intuitive du lien entre corps, esprit, environnement et énergie.
Ces savoirs, transmis de génération en génération, ont évolué sans jamais disparaître. Aujourd’hui, ils s’allient – ou devraient s’allier – aux connaissances contemporaines pour proposer des solutions durables, respectueuses du corps et de la nature.
Il faut le voir pour le croire
Le web regorge aujourd’hui de promesses et de ‘solutions miracles’.
Mais ici, il n’est pas question de magie : notre corps est énergie. Rééquilibrer ce qui est déséquilibré, remettre en fonctionnement ce qui dysfonctionne : voilà le cœur de cette approche. Et les résultats, eux, se manifestent souvent de manière concrète et durable.
Les interventions du Cabinet Nomade Énergétique ne se substituent en aucun cas à un avis ou un traitement médical.
En cas de pathologie, de trouble ou de doute, consultez toujours un professionnel de santé.

